Paroles françaises : © Marina Lushchenko

Chant : Matthieu Carmelah, Alla Terekhova

Tu es enchantée, tu es envoûtée

Vénérée autrefois par le vent lui-même

Tu serais toute entière comme enchaînée

Toi, ma femme que je n’ose dire mienne

 

Jamais trop amère, jamais trop réjouie

Tu n’es pas de ce monde, comme qui dirait

Toi, la grande folie de ma pauvre vie

Toi, mon bel astre mi-inventé mi-vrai

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Je cacherai mon visage au creux de tes mains

En serrant de toutes mes forces tes genoux

Et avec mes larmes et mon ardeur sans fin

Je te brûlerai, mon rêve étrange et doux

 

Le non-abouti tôt ou tard s’oublie

Le non-maîtrisé, laisse-le passer

À quoi songes-tu, ma belle mystérieuse ?

Pleures-tu ou c’est mon imagination ?